Le journal la Montagne parle de la Manufacture des bébés français
LE JOURNAL "LA MONTAGNE" CLERMONT-FERRAND PARLE DE LA MANUFACTURE DES BEBES FRANCAIS
Découvrez l'article dans sa totalité via le lien ci dessous : ICI
<< Pourquoi deux commerçants de Clermont-Ferrand ont fait le choix de la boutique en ligne
L’un vient de créer sa boutique en ligne « La Manufacture des bébés français », l’autre s’apprête à clore dix-sept ans d’aventure de sa boutique physique « Les Affaires d’Elsa » pour la digitaliser. Pourquoi le choix de la boutique en ligne ? Nous sommes allés leur demander.
Ne cherchez pas, il n’y a pas de boutique « La Manufacture des bébés » à Clermont-Ferrand. Et pourtant. C’est bien là qu’Alexandre et Camille Berthomier ont créé leur commerce, avenue Julien. Il s’agit en fait d’une boutique en ligne.
Des patrons originaux et de la fabrication française
Elle est ouverte depuis quelques semaines, sur la base d’un concept totalement imaginé par le couple. « On a commencé à la maison, avec des bouts de tissus et une machine à coudre », raconte Alexandre.
Le trentenaire est alors cadre dans la finance chez Michelin depuis dix ans. « Cela me plaisait beaucoup, mais j’ai toujours eu en tête de créer mon entreprise ». Il aide Camille à se lancer. « Mademoiselle a dit oui » est un succès.
La galère des cadeaux de naissance
En parallèle, naît l’autre idée.
« Nos amis ont commencé à avoir des enfants. Nous galérions pour trouver des cadeaux. Et nous nous sommes aperçus que les mamans accordaient une grande importance à la qualité des matières et au lieu de fabrication ».
Ce sera donc « La Manufacture des bébés » . Des gigoteuses, bavoirs, couvertures, babygros, serviettes, cape de bain… personnalisables, coordonables et entièrement fabriqués en France, à Cambrai, à partir de patrons exclusifs imaginés par le couple clermontois.
Pourquoi le choix de la boutique en ligne ?
« Parce que les méthodes de consommation ont changé, que notre cœur de cible, les 25-40 ans, utilise beaucoup Internet ». Les réseaux sociaux changent tout. Le plus dur, admet Alexandre, « c’est de se faire connaître ». D’où une présence très visible sur les réseaux sociaux.
Pour la suite, il pense à des boutiques clermontoises spécialisées dans le secteur de la puériculture. Ou à des boutiques éphémères.>>